>> Toutes les rubriques <<
· Créations Fetes Noel xxxxxxxxxx (262)
· Muguet 1 er mai (143)
· Créations divers 1 (226)
· Automne 1 (191)
· Gourmandises ❤️ Créations gourmande ❤️ (211)
· Tubes cadres, clusters;scrap (153)
· Tube DIVERS et femme (75)
· CREATIONS st valentin ♥♥ ♥♥ (194)
· Printemps (162)
· Creation avec des animaux (202)
Date de création : 28.04.2010
Dernière mise à jour :
14.02.2025
8166 articles
Notre vie est un livre qui s'écrit tout seul. Nous sommes des personnages de roman qui ne comprennent pas toujours bien ce que veut l'auteur.
Où que tu ailles, vas y avec ton coeur ...
Crois en tes rêves, crois en ton destin ...
" Le premier regard, c'est la première note magique jouée sur la corde d'argent de notre cœur. "
lundi 03 juin - St Kévin ♪ ♫ ♪
coucou a tous ♪ ♫ ,
servez vous votre part de bonheur♥ ♥
merci a tous pour votre visite, votre gentillesse, et tous vos coms ♥♥♥
Le vol du papillon
Volant de fleurs en fleurs
pourras-tu approcher mon cœur ?
Papillon, mon ami
pour un jour, pour la vie.
Tes ailes aux couleurs de l'arc-en-ciel
sont le reflet du soleil.
Vole vers la lumière,
n'est pas peur de te brûler les ailes.
Dans un élan d'Amour,
tu voles la nuit et le jour
à la recherche du bonheur,
mais ce n'est peut-être qu'un leurre !
Le véritable bonheur
n'est-il pas dans ton cœur ?
Mais déjà la nuit tombe
et tu n'as pas fini ta ronde.
Puis un jour viendra
où tu renaîtras,
sous la forme d'une chenille
tu reviendras à la vie.
Chenille, mon amie
n'est pas peur de la vie,
car malgré sa folie,
elle t'aide à grandir.
Sur le chemin de la vie,
doucement tu chemines.
Sur le chemin de la transformation,
doucement tu prendras ton envol.
Je vous souhaite une bonne fin de semaine
et un bon weekend de la Pentecôte
bisoux
A la semaine prochaine
dans vos univers
Cher lundi de Pentecôte,
Bientôt, tu n'auras plus la cote
Car, pour tous les salariés,
Tu ne seras plus férié !
Tu seras même supprimé
Nous devons te sacrifier,
Sous prétextes de solidarité
Avec les personnes âgées.
Elle a bon dos la canicule
Pour nous faire avaler la pilule:
Travaillons ! Travaillons !
Et des taxes, de plus en plus, nous aurons.
Nous aurions dû descendre dans la rue,
Pour défendre ton statut...
Mais tout le monde s'est tu
Car plus personne n'y croit plus:
Ni travailleurs, ni syndicats
Ne font désormais le poids
Face au pouvoir du patronat
Qui fait ce qu'il veut de l'emploi.
Il eût été plus populaire
De donner 1 de vos salaires
Messieurs les Ministres et Députés
Au lieu de nous culpabiliser
En nous disant : " Trop de loisirs,
Ce n'est pas bon pour l'avenir ! "
Nous n'irons plus au bois
Nous promener ce jour-là,
Mais dans les usines et les bureaux,
Nous irons bosser le coeur gros !
Nous ne pourrons plus maintenant,
Rendre visite à nos parents,
Eloignés par la distance,
Dans un joli coin de France;
Vous, qui avez eu cette idée,
Messieurs les Députés,
Avez-vous donc pensé
A toutes ces personnes âgées
Que leurs enfants pouvaient retrouver
Lors de ces week-end prolongés ?
Ce sera fini désormais !
Et ne soyez pas étonnés
Qu'il y ait un jour, un revers
A cette décision arbitraire
A vouloir tout casser,
A ne plus rien respecter,
Il est possible et je l'espère
Que vous récoltiez tout le contraire
De ce que vous attendez
En supprimant ce jour férié !
Il nous reste l'espoir encore
Que l'Esprit (de Pentecôte !) souffle très fort
Et vous ramène à la raison
En nous laissant à la maison.
Toi qui existais depuis des années
Si vraiment tu disparais
Sache que nous t'aimions bien, tu sais,
Ô lundi de Pentecôte, désormais,
Nous ne penserons plus à toi avec le sourire
Car, de toi, il ne nous restera que des souvenirs...
Elle s'étend,
S'étire, et, ondule.
Recouvrent le plateau
D'un mauve velouté.
Elle émerveille les yeux,
Elle colore les champs violet.
La où dansent les abeilles En nuage bourdonnant,
La lavande doucement, Flotte dans l'air.
Tandis que le soleil Généreux et abondant,
Réchauffe les cailloux,
De ses rayons ardents,
Sous la voute épurée,
D'un immense ciel bleu.
Le rêve
<< Tu viens d’où ?
- Je viens d’une étoile.
- Où est-ce ?
- Dans une mer de nuages.
- Tu as quel âge ?
- Je n’ai pas d’âge .
- Tu parles quelle langue ?
- Je parle la langue de l’amour.
- Qu’est-ce que tu aimes faire ?
- J’aime penser à la vie dans le cosmos.
- Tu as de la famille ?
- Non , je suis seul sur la Terre .
- Qu’est-ce que tu aimes manger ?
- Je me nourris avec des rêves .
- Tu habites où ?
- J’habite chez toi , chez tes amis , chez ta famille… >>
Merci a vous qui venez flaner un peu chez moi
merci de partager des moments de douceur et d'echange
Bonne fin de semaine a tous
Regardez les branches
Comme elles sont blanches !
Il neige des fleurs.
Riant dans la pluie,
Le soleil essuie
Les saules en pleurs
Et le ciel reflète,
Dans la violette
Ses pures couleurs...
La mouche ouvre l'aile
Et la demoiselle
Aux prunelles d'or,
Au corset de guêpe
Dépliant son crêpe,
A repris l'essor.
L'eau gaîment babille,
Le goujon frétille
Un printemps encore !
Théophile Gautierun poème de Chantal Champ
Seule, abandonnée des autres
Mais pas d’elle-même
Elle regarde passer le train de la vie
Sans se donner le droit au voyage.
Elle est là, posée sur le quai de la gare
Comme un grain de beauté sur une joue.
Elle regarde le grand défilé des existences
D’un œil gourmand et apeuré
Pourquoi tant d’agitation, tant de faux semblants ?
D’où leur vient ce regard de mort vivant ?
Ces sourires plaqués sur le visage
Comme une grimace presque douloureuse ?
Bonjour ! Ca va ? Elle n’a pas le temps de répondre
Non ! Ca ne va pas ! L’autre est déjà loin …
Elle ne pourra pas lui dire
Que la vie ne va pas bien en ce monde.
Elle saigne de toutes leurs blessures
Elle pleure toutes leurs larmes ravalées
Elle hurle leur indignation
Ainsi, croit-elle, tout ne sera pas perdu.
Elle n’est qu’une enfant venue d’une étoile
Ne comprenant rien au jeu mondain
Elle a offert son amour, sa lumière, mais
Personne n’en a voulu.
Elle décide de repartir, sa tâche inaccomplie.
C’est alors qu’un petit garçon lui sourit
Et lui offre une rose aux pétales pourpres
Veux-tu être ma maman ? dit-il
Un enfant vient de la choisir
Qui la prend par la main
Et l’emmène loin de tout ce vacarme
Sur un chemin où l’amour invite à grandir.
Au printemps une bouteille plongea
Un message d’amour à la main
Je serai toujours fidèle, se dit t’elle
A la mer de me guider prés d’elle
De vivre ensemble ce nouveau matin
Vers l’éternel voyage, d’un désir beat
¤
La mer se lia fière en cette tendresse
D’un calme ravageant l’immensité
De croire au bonheur de la bouteille
Qui se dressait haute sur son éveil
Dans l’humilité d’un respect avoué
De pouvoir donner ses pures caresses
¤
La mer ne comprit ce bel appel
Trop fière de se voir aduler
Par son impétueux sir le vent
Près à ravager mortel les insolents
En voulant d’un infini pertinent flirter
Avec des mots secrets à sa passerelle
¤
Le vent souffla toute sa colère
Sur la mer qui pleura toute sa rage
Et dressa sa vague destructrice
Pour engloutir l’intruse séductrice
Cette bouteille au leste présage
Et au placide flegme rétif à l’enfer
¤
La bouteille dupée dit au vent violent
- Vous voilà bien fort, bel incongru
- Mais votre tumulte s’essoufflera
-A mon calme que tu nourriras
-Tu ne gâcheras pas ma vertu
-Et ma tête restera au firmament
¤
La bouteille sage se fit belle
Mais la mer folle de fantaisies
La chassa du haut de sa vague
Pour la voir périr avant paques
Mais la sagace belle avec frénésie
Dansa sur un rythme fou à l’éternel
¤
La mer en appela son bon ami
Le bois sûr qui briserai l’intrus
Le rejetant dans l’oubli parfait
D’un fond hideux de gouffre isolé
Où survivent les débris perdus
Qui espèrent toujours une survie
¤
La bouteille défia l’impérieux bois
Faisons le chemin de la douce vie
Et si ma sagesse têtue se coule
Avant que l’abîme profond tu foules
Je me rendrai muette sans préavis
Au royaume des âmes sans loi ni foi
¤
Le bois épris de la mer gonfla, gonfla
Devint fanfaron à vouloir croire gagner
De sa lourdeur perdit toute sa frondeur
Devant le diable amant des profondeurs
Il s’enfonça et blafard demanda pitié
D’avoir cru sir le vent et la libertine mer
¤
Là une bouteille flotte toujours sur sa mer
De sa pugnace sagesse elle retiendra
Qu’il faut fuir sage sans délit l’être aimée
Mais que rester fidèle dans sa sincérité
Collée à une pensée voisinant des jours d’aura
Evitera les vagues de malaises trop pervers.